Des piles de détritus enflammés nous barrent la route. Rester dans le quartier, vu ses occupants, ce serait du suicide, et finir la route à pied n’est pas une meilleure idée. Va falloir fouiller ces bâtiments pour trouver de quoi dégager le passage. Ça tombe bien, j’avais besoin de me dégourdir les jambes…